Adaptez votre attitude

C’est peut-être la partie la plus difficile : vous devez cesser de vous comporter comme une épouse et apprendre à vous comporter comme une Maîtresse. Dans votre comportement quotidien, la manière dont vous lui parlez et la façon dont vous le traitez, vous devez vous habituer à votre statut et donc, incidemment, au sien.

Évacuez les « s’il te plait » et les « merci » de votre langage. Remplacez l’interrogatif (« tu veux bien aller me chercher un verre d’eau ? ») et le conditionnel (« j’aimerais un verre d’eau. ») par l’impératif : « va me chercher un verre d’eau ». Soyez directe, soyez directive, soyez Maîtresse. Comprenez que ce que nous aimons, c’est être dirigés avec fermeté. Nous n’attendons ni remerciements ni félicitations : nous sommes là pour vous servir.

Essayez, autant que faire se peut, de vous débarrasser de tous les comportements qui peuvent vous mettre sur un pied d’égalité avec votre esclave. Typiquement, le « petit bisou du matin », aussi agréable qu’il puisse être, n’est pas approprié : exigez plutôt un baisemain ou, encore mieux, qu’il embrasse vos pieds. Je sais que ça n’est pas facile pour vous mais croyez-moi : pour nous, embrasser les pieds de notre Maîtresse est un pur moment de bonheur, c’est un geste d’amour autant que de soumission et vous vous y habituerez très vite. Généralisez ce principe : chassez toutes les situations qui pourraient lui laisser penser que vous le traitez en égal (ne lui demandez pas son avis) ou imposez des règles qui rétablissent la hiérarchie (vous avez besoin de son avis ? Exigez qu’il vous le donne à genoux).

Rappelez-lui régulièrement votre statut (et donc le sien) par la manière dont vous le traitez : n’hésitez pas à l’humilier ou à le brutaliser de temps en temps. Je sais, ça n’est pas facile mais c’est comme tout : c’est une question d’habitude, un rythme à prendre. Commencez doucement : exigez qu’il passe ses soirées assis par terre à vos pieds, amusez-vous à lui infliger de petites douleurs (giflez-le, pincez ses tétons, donnez-lui quelques claques sur l’entrejambes…), ordonnez-lui d’en redemander, allumez-le en lui imposant une immobilité totale, interdisez-lui de parler sans autorisation… Les possibilités sont infinies.

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